j'enchainerai mon échine
à un chêne
une machine
pour me penser ressuscité
dans tes soleils sollicités
et au solstice d'été
je me pisserai le corps
pour donné coeur et âme
à des flammes infâmes
que tes plumes proclament
d'abord
telle écume qui se pâme
encore
et je cristalliserai ces feux
de fours crématoires
en m'offrant pieux
aux langueurs de leurs grâces
pour me voir percevoir
une paire d'aperçus
ni naïvement reçus
si densément déchus
alors je creuserai ta sueur
à coup de baisers
à force d'émoi
sur tes intenses lueurs
déjà j'étreins les atomes
de tes caresses fantômes
comme le typhon dérobe
les feuillages monotones
qui se meurent sur ta robe
au plus brun des automnes
jusqu'à tes abimes cillés
et s'il est encore temps
et même si point
j'enroberai ton mythe
plus galbé que Venus
de ces tendresses de poing
de ces bagages décors
adorés arborés éructant Uranus
car seul ce désir est maître des sens
je veux enrober ta joie
épouser tes jouissances
pour savourer une fois
et s'avouer maintes fois
roi
je confinerai cet effroi
dans ton intime émail
qui de joie me trésaille
Gaston
L'alignement à droite
RépondreSupprimerj'adore. pourquoi?
j'ignore
Yoda
L'alignement à droite
RépondreSupprimerje l'adore. Pourquoi?
Je l'ignore.
Yoda
Merci Yoda d'être revenu, quel sourire cela donne !
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