samedi 16 janvier 2010

Magalie



Sous le roseraie de tes rêves je puiserai de ma sève mes poèmes jusqu'à ce que le drap de ta peau aime le drapeau de ma poésie, frêle hérésie d'un délit délicieux qui subsistera encore dans l'abîme de tes yeux, abimés, décimés. Et des cimes et des crêtes je saurai me suffire de l'amour d'un zéphyr à l'âme discrète et au ton mélodieux. O Dieux radieux tant odieux, permettez moi de douter de la vénusté de vos belles.

7 commentaires:

  1. Beaucoup j'aime.
    Les rassemble-tu?
    Un recueil
    projettes-tu?

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  2. Il faudrait que je retrouve toutes ces feuilles perdues, retrouvées, éparpillées, surtout malmenées. Curieusement à chaque fois que je suis sur le point de m'acheter un cahier ou un carnet, afin de pouvoir écrire sans forcément écarter les mots je n'arrive pas à aller jusqu'au bout de mon but. Peut être les lettres sont véritables seulement lorsqu'elles sont parsemées.

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  3. Et sur l'ordinateur?
    as-tu tout rassemblé?
    à plusieurs endroits?
    Tout tu devrais saisir
    par principe
    pour tout garder
    pour tout relire
    vraiment vraiment
    certain c'est

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  4. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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  5. je n'ai que les textes qui sont postés sur le blog, et 2 autres que je compose en ce moment. Puis beaucoup d'autres feuilles éparpillées, où j'ai écris des montagnes de mots, dans ma chambre, sombre bazar qui me glorifie peu.

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  6. Je suis loin d'avoir l'âme poêtique, mais je suis en mesure d'affirmer que tes textes sont toujours très beaux.
    Un talent ? Un don ? En tout cas, quelque chose t'as touché.

    Inkhô-Nuh

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