dimanche 6 décembre 2009

tic, tac.

Emile assimile à six mille lyrics enjoués sur un blues apaisant des rimes à foison à notes en fusion qui se pèsent, de basent, se plaisent sur son blaze. D’une phase attractive en une phrase maladive, salvatrice écoute cette claque bourrative, didactique : Car sans cric et sans crac mon temps tique mon temps taque, authentique il s’en tac, d’un tic en tac, d’un tac antique, d’un tic attique en un tac éthique. Et tac, j’attaque à tic : quand tu critiques, je cris tac. Et ca fait clic quand je te claque de ma clique à mes clacs. Mon temps crique d’un cric oblique. Mon temps craque d’un crac opaque. J’ai le trac ; et la trique, ca me traque en un trick, d’un tact tic, intact, tactique lorsqu’Emile implique en un mic en un mac, en un mac macaque, en un mic mimique son micmac bigmac de porc épique, du porc épique ; qui pique, sans laque. Quand flics traquent fric black et crack geek, ils embraquent mon tic, et mon tac, mes clics et mes clacs. Ca me nique, ca me saque, j’en deviens sick, dans ce sac où je tombe à pic dans un pack, qu'il s’applique de ces plaques à prendre bric en vrac, brac en vric, à prendre bric à brac idyllique, sans hic, et sans hâte. C’est mon temps critique qui cris tac alors plaque mon bic dans ce bac brique, Emile, et panique. Car je ne suis plus black que vous êtes public.

3 commentaires:

  1. la poésie lettriste connais-tu?
    une sans mot, juste avec des lettres.
    Isidore Isou, par exemple
    bonne lecture

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  2. je ne comprend pas le lettrisme ... Peux tu m'expliquer le principe de cette écriture ?

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