mardi 20 octobre 2009

- Ces joies violentes ont des fins violentes, et meurent dans leur triomphe : flamme et poudre, elles se consument en un baiser. (Roméo et Juliette)


« Ce sont deux regards qui se croisent,

deux mains qui se cherchent,

Deux bouches qui se touchent, deux temps qui fusionnent.

C'est une douce apesanteur ;

une trajectoire libre, furtive.

S’élancent dans les airs, ces deux cœurs qui s’effleurent

se touchent et qui ivres, vacillent dans les profondeurs

d’un bonheur éphémère. »



10 commentaires:

  1. 4 minutes de retard :O
    La faute à la photo :)

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  2. Le texte rattrape voyons :D
    Si beau. !

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  3. alalala la photo xD
    Bravo c'est très beau .
    J'aime beaucoup les textes comme ça !
    J'AIME *_*

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  4. bravo blanche-neige !!
    j'espere pouvoir faire aussi bien que tous vos articles !

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  5. embrasser, tu veux? t'unir à la force? de deux faire un? Dans l'infini t'allier au désert de l'autre? Lis le Cantique des cantiques, Le banquet de Platon, l'harmonie parfaite d'Ibn Arabi, et capable tu en seras. D'amour tu seras.

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  6. Une très belle photo et un texte magnifique

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  7. Autant le dire dès à présent: fier de vous je suis. Plein d'allant et de talent vous êtes. Trois chemins pour aller encore plus loin je vois.
    L'AVENTURE, cette ouverture qui non seulement pousse à oser, mais à écouter l'autre, s'ouvrir à ses mots, et lui répondre, non par des signes tous faits, vides et usés, mais par de vrais mots à vous, non encore dits, à trouver, à écrire.
    La LECTURE, car écrire ne se peut sans lire, sans citer sans le dire les pères et les pairs qui nous devancèrent dans les domaines du sentiment et de l'audace.
    et enfin la RATURE, l'inlassable, l'insatisfaite exigence du plus que parfait, cette hauteur, cette fracture seule capable, sans doute, comme demandait Aragon de "laisser entrer l'infini".

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