mardi 17 novembre 2009

Silence.


Puisque apparemment personne ne post ce soir car, si j'ai compris problème d'accès à internet, je vous propose un texte semblable à mes précédents ...
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Tes yeux timbres au vents fredonnent superbe la quête des Ange ébahis par ta vénusté. Le souffle de ta prunelle m’enchante jusqu’à l’apogée mélodieuse de ton intime plume azure d’iris. Tes exceptionnelles pupilles s’embrasent peu à peu puis embrassent bleu à bleu la douceur de ton âme inconnue, ineffable. Tu es ineffable. Mais ta beauté est délicieuse. Ton charme est harmonieux. Et ce plaisir est admirable. Admiré que je me crois lorsque tu sembles dévoiler sous une clarté charnelle un mystère aussi délicat que profond ; ce regard. Tendre supplice, qui me chante à l’oreille, me murmure en son sein sa sensualité. Cette majesté m’exalte une joie intime d’aimer. Oui, car ta splendeur me délasse d’un délice magnifique et interminable. Tu n’égales pas Vénus ; non tu la transcende, dans l’apothéose de ta douce beauté.

3 commentaires:

  1. c'est très beau !
    j'aime beaucoup !
    Bravo =D

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  2. Merci ! J'avais tenté de m'aranger avec Maria mais tout est allé très vite et je n'ai pas vraiment assuré. Désolée

    Je connais déjà ce texte mais je le redécouvre à chaque fois.. :)

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  3. Beau c'est. Luxuriant, exubérant, comme souvent, mais beau. Et en plus, en vrai prince charmant, Blanche neige tu as sauvé... Que demande la force?

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