mercredi 30 décembre 2009
le bonheur
Qu'est ce que le bonheur ?
C'est une question très vaste à laquelle personne n'a de réponse précise et exacte.
Pour certains le bonheur réside dans le matériel, l'achat d'un téléphone dernier cri avec lequel on oublit qu'on peut téléphoner
D'autres trouveront le bonheur en rendant les autres heureux, même si ces gens sont rares .
Pour moi le bonheur est simple, une journée habituelle avec les gens que j'aime, une journée comme les autres que quelques un illuminent par leur présence, juste parce qu'ils sont là .
Pour moi c'est ça le bonheur.
C'est une question très vaste à laquelle personne n'a de réponse précise et exacte.
Pour certains le bonheur réside dans le matériel, l'achat d'un téléphone dernier cri avec lequel on oublit qu'on peut téléphoner
D'autres trouveront le bonheur en rendant les autres heureux, même si ces gens sont rares .
Pour moi le bonheur est simple, une journée habituelle avec les gens que j'aime, une journée comme les autres que quelques un illuminent par leur présence, juste parce qu'ils sont là .
Pour moi c'est ça le bonheur.
jeudi 24 décembre 2009
mercredi 23 décembre 2009
Ma belle histoire
J'aimerai vous raconter une belle histoire
Il y a trois ans je me suis découverte une passion : la musique
Depuis toute petite je regardais mon père et ses amis jouer ces classiques rock que tout le monde connaît
Et puis au fil du temps ce petit groupe s'est de moins en moins réunit
ça me manquait réellement
J'ai donc décidé de faire ma propre musique pour retrouver cette atmosphère si particulière
Le piano s'est révélé être l'instrument qui me convenait a la fois parfait en solo comme en groupe
Voila donc comment a commencé a ce développer ce qui est aujourd'hui devenu mon mode de vie
Le plus ,c'est que maintenant, c'est le groupe qui me regarde jouer!
Ce texte est sorti de mon cœur, car l'écriture est mon second moyen d' expression
Il y a trois ans je me suis découverte une passion : la musique
Depuis toute petite je regardais mon père et ses amis jouer ces classiques rock que tout le monde connaît
Et puis au fil du temps ce petit groupe s'est de moins en moins réunit
ça me manquait réellement
J'ai donc décidé de faire ma propre musique pour retrouver cette atmosphère si particulière
Le piano s'est révélé être l'instrument qui me convenait a la fois parfait en solo comme en groupe
Voila donc comment a commencé a ce développer ce qui est aujourd'hui devenu mon mode de vie
Le plus ,c'est que maintenant, c'est le groupe qui me regarde jouer!
Ce texte est sorti de mon cœur, car l'écriture est mon second moyen d' expression
lundi 21 décembre 2009
dimanche 20 décembre 2009
Photographivernale
jeudi 17 décembre 2009
mercredi 16 décembre 2009
Ne pars pas
J'ai longtemps cherchée quelqu'un comme toi,
Je t'ai trouvé il y a peu d'années,
Et tu es resté prés de moi,
Nous avons passés
Des moments
Excellents .
Tu dois me quitter,
Et ce n'est pas sans émois,
Tu vas réellement me manquer,
Mais j'espère un jour me retourner, te voir toi.
Je t'ai trouvé il y a peu d'années,
Et tu es resté prés de moi,
Nous avons passés
Des moments
Excellents .
Tu dois me quitter,
Et ce n'est pas sans émois,
Tu vas réellement me manquer,
Mais j'espère un jour me retourner, te voir toi.
lundi 14 décembre 2009
dimanche 13 décembre 2009
Je ne vous aime point.
Jouissez de votre bonheur infame qui plait à voir, pour vous.
Jouissez de votre perte macabre, inébranlablement fausse.
Aimez vous réellement ces plaisirs futiles, furtifs, dangereux voire meurtriers ?
Vous êtes minables.
Comment pouvez-vous concevoir l’amour de votre existence, plus même : de la vie, de votre vie, par une indécence suprême, ultime, ineffable ? On ne peut, personne ne peut, vivre sans penser à demain. Vous vous prônez pourtant ainsi. Mais en êtes vous sûrs ? Mais qui êtes vous réellement ? Osez vous le savoir, mais personne ne le sait. Personne ne sait ce qu’il est, d’où l’existence du bonheur. Vous prétendez vous donc aussi haut que le bonheur ?
On remarque chez vous un sens vain de vous montrer, entre vous, entre nous, entre vous et nous il y a un écart, un fossé, une tranchée, une mer, un monde, un cosmos. Vivez dans votre monde mais ne pourrissez pas le notre. Crevez dans votre monde mais ne périssez pas le notre.
Votre incalculable hypocrisie vous dit heureux, non vous ne l’êtes pas : pensez à vos trépas quotidiens, vos morts mensuelles, votre perte annuelle, votre ombrage perpétuel. N'est-ce pas fade, surtout lamentable ? C'est pitoyable. C'est vous.
Et j’aime vous contempler, par envie parfois, tellement vous êtes uniques en votre bêtise.
Et j’aime à vous haïr, par plaisir souvent, tellement vous êtes sales en votre ineptie.
Mais ce plaisir aussi est faux, je le sais, car il tient de vous.
Tout chez vous est faux.
Je vous crache à la gueule, je ne vous aime point.
vendredi 11 décembre 2009
Hypocrisie?
Des strass et des paillettes. D'énormes ruban rouges sur les poignées de portes. Des petites ampoules illuminent chaque coin de rue, chaque coin de fenêtre. Des images du gros bonhomme rouge et blanc sont placardés partout. Noël est partout, Noël a tout envahit. Noël, Noël, Noël scandent les magasins. Noël jubilent les enfants. Noël soupirent les parents. Parce qu'on aura beau dire, mais dans les faits, qu'est ce que Noël ? Les cadeaux, les décos, l'apéro. Voilà tout ce que je vois moi, de mes yeux de jeune ado.
La priorité dans les esprits, c'est le budget cadeaux. Autrefois dans certains pays, aux alentours de Noël, on préparait un lit de plus dans la maison pour accueillir celui qui venait demander un gîte pour la nuit. Que fait-on aujourd'hui qui puisse ressembler à de l'amour, de la solidarité? Rien je crois, si ce n'est acheter une psp à un enfant, un Ipod au cousin, un cuiseur à vapeur Senseo pour sa mère. Un don pour les plus démunis ? Une fête avec ceux qui sont seuls ? Je parie que ça ne vous a même pas effleuré l'esprit! Et on voudrait me parler d'esprit de Noël? D'amour ? Et si au lieu de sacraliser le Père Noël, on tentait de l'imiter? Et si tout les enfants du monde pourraient réellement recevoir un cadeau pour les fêtes?
La priorité dans les esprits, c'est le budget cadeaux. Autrefois dans certains pays, aux alentours de Noël, on préparait un lit de plus dans la maison pour accueillir celui qui venait demander un gîte pour la nuit. Que fait-on aujourd'hui qui puisse ressembler à de l'amour, de la solidarité? Rien je crois, si ce n'est acheter une psp à un enfant, un Ipod au cousin, un cuiseur à vapeur Senseo pour sa mère. Un don pour les plus démunis ? Une fête avec ceux qui sont seuls ? Je parie que ça ne vous a même pas effleuré l'esprit! Et on voudrait me parler d'esprit de Noël? D'amour ? Et si au lieu de sacraliser le Père Noël, on tentait de l'imiter? Et si tout les enfants du monde pourraient réellement recevoir un cadeau pour les fêtes?
jeudi 10 décembre 2009
Pour changer encore ...
mercredi 9 décembre 2009
Noël
Noël que veut vraiment dire ce mot de nos jours ?
Avant Noël rimait avec naissance
Maintenant dans cette société qu'est la nôtre
Noël reste le jour où les enfants ont des cadeaux
On en oublie ce qui est important
La réunion des famille pour fêter l'arrivée de cet être
L'arrivée de ce bonhomme rouge et barbu
Nous a-t- il réellement fait perdre le véritable esprit de noël ?
Avant Noël rimait avec naissance
Maintenant dans cette société qu'est la nôtre
Noël reste le jour où les enfants ont des cadeaux
On en oublie ce qui est important
La réunion des famille pour fêter l'arrivée de cet être
L'arrivée de ce bonhomme rouge et barbu
Nous a-t- il réellement fait perdre le véritable esprit de noël ?
dimanche 6 décembre 2009
tic, tac.
Emile assimile à six mille lyrics enjoués sur un blues apaisant des rimes à foison à notes en fusion qui se pèsent, de basent, se plaisent sur son blaze. D’une phase attractive en une phrase maladive, salvatrice écoute cette claque bourrative, didactique : Car sans cric et sans crac mon temps tique mon temps taque, authentique il s’en tac, d’un tic en tac, d’un tac antique, d’un tic attique en un tac éthique. Et tac, j’attaque à tic : quand tu critiques, je cris tac. Et ca fait clic quand je te claque de ma clique à mes clacs. Mon temps crique d’un cric oblique. Mon temps craque d’un crac opaque. J’ai le trac ; et la trique, ca me traque en un trick, d’un tact tic, intact, tactique lorsqu’Emile implique en un mic en un mac, en un mac macaque, en un mic mimique son micmac bigmac de porc épique, du porc épique ; qui pique, sans laque. Quand flics traquent fric black et crack geek, ils embraquent mon tic, et mon tac, mes clics et mes clacs. Ca me nique, ca me saque, j’en deviens sick, dans ce sac où je tombe à pic dans un pack, qu'il s’applique de ces plaques à prendre bric en vrac, brac en vric, à prendre bric à brac idyllique, sans hic, et sans hâte. C’est mon temps critique qui cris tac alors plaque mon bic dans ce bac brique, Emile, et panique. Car je ne suis plus black que vous êtes public.
samedi 5 décembre 2009
L'Homme doit agir face au climat !
Pour cela SIGNEZ L'APPEL DE L'ULTIMATUM CLIMATIQUE ! DONNEZ VOTRE POID (Façon de parler ^^') POUR COPENHAGUE 2009 !
Rendez-vous sur http://www.copenhague-2009.com/ et signez l'appel en rentrant votre adresse e-mail, puis confirmer l'e-mail reçu !
BOUGEZ VOTRE CUL, OU JE VOUS LE BOTTE !
vendredi 4 décembre 2009
Un peu d'optimisme de-ci de-là
jeudi 3 décembre 2009
Pour changer ...
Aujourd'hui, j'ai choisi de publier une citation que j'aime beaucoup. A l'origine elle est en Moyen français, je vous l'ai mise en Moyen français et en français moderne :
"Mieulx est de ris que de larmes escripre,
Pour ce que rire est le propre de l'homme."
Traduction en français moderne :)
"Il vaut mieux traiter du rire que des larmes,
Parce que rire est le propre de l'homme. "
François Rabelais, Gargantua (préface aux lecteurs)
"Mieulx est de ris que de larmes escripre,
Pour ce que rire est le propre de l'homme."
Traduction en français moderne :)
"Il vaut mieux traiter du rire que des larmes,
Parce que rire est le propre de l'homme. "
François Rabelais, Gargantua (préface aux lecteurs)
mercredi 2 décembre 2009
Honte et mensonge
Dans le bon vieux temps, souvient toi mon ami
La lune était si brillante et si proche de nous, parfois
Nous étions restés aveugles et sourds, quelle béatitude
Peignant le monde a nôtre maniére, pour nos yeux, maintenant
Pouvons nous encore avoir ce que nous avions à ce moment ?
Une amitié indestructible
Aimer ne signifie rien pour moi
Sans un clin d'oeil
Je m'éclipserai si besoin est
Tout ces moments avec toi
Si je t'avais auprés de moi...
Un jour sombre nous avons perdu le jeu
Nous avons dérapé si loin
Rien n'est plus cruel qu'un enfant
Parfois nous cassons l'incassable, parfois
Et nous n'aurons plus jamais ce que nous avions à ce moment
Une amitié intacte
Aimer ne signifie rien pour moi
Sans un clin d'oeil
Je m'éclipserai si besoin est
Tout ces moments avec toi
Si je t'avais auprés de moi a cet instant...
J'étais incapable de supporter ce que tu disait
Parfois il faut être cruel pour être bon
Enfant que j'étais, je ne voyais pas la raison
Je n'éprouvais que honte et mensonge
Je n'ai jamais oublié ton sourire
Tes yeux
Avec le temps, beaucoup de souvenirs périssent
J'écrit ceci pour apaiser ma douleur..
Tu nous voyais bien mieux que moi
Comme nous n'aurions jamais du être
Un amour inavoué signifiait la mort de n^tre amitié
Maintenant j'ai vu la lumiére
Ces souvenirs me font pleurer..
Pourrais-je encore avoir ce que j'avais ?
Une amitié intacte
L'amour ne signifie rien pour moi
Sans un clin d'oeil
Je m'éclipserai si besoin est
Tout ces moments avec toi
Vois le monde avec mes yeux
L'amitié s'est brisée
Il n'y en a pas d'autre pour moi
Comme celle de mon enfance
Pourras tu me pardonner ?
L'amour se porte mieux sans moi,
Depuis ce jour..
La lune était si brillante et si proche de nous, parfois
Nous étions restés aveugles et sourds, quelle béatitude
Peignant le monde a nôtre maniére, pour nos yeux, maintenant
Pouvons nous encore avoir ce que nous avions à ce moment ?
Une amitié indestructible
Aimer ne signifie rien pour moi
Sans un clin d'oeil
Je m'éclipserai si besoin est
Tout ces moments avec toi
Si je t'avais auprés de moi...
Un jour sombre nous avons perdu le jeu
Nous avons dérapé si loin
Rien n'est plus cruel qu'un enfant
Parfois nous cassons l'incassable, parfois
Et nous n'aurons plus jamais ce que nous avions à ce moment
Une amitié intacte
Aimer ne signifie rien pour moi
Sans un clin d'oeil
Je m'éclipserai si besoin est
Tout ces moments avec toi
Si je t'avais auprés de moi a cet instant...
J'étais incapable de supporter ce que tu disait
Parfois il faut être cruel pour être bon
Enfant que j'étais, je ne voyais pas la raison
Je n'éprouvais que honte et mensonge
Je n'ai jamais oublié ton sourire
Tes yeux
Avec le temps, beaucoup de souvenirs périssent
J'écrit ceci pour apaiser ma douleur..
Tu nous voyais bien mieux que moi
Comme nous n'aurions jamais du être
Un amour inavoué signifiait la mort de n^tre amitié
Maintenant j'ai vu la lumiére
Ces souvenirs me font pleurer..
Pourrais-je encore avoir ce que j'avais ?
Une amitié intacte
L'amour ne signifie rien pour moi
Sans un clin d'oeil
Je m'éclipserai si besoin est
Tout ces moments avec toi
Vois le monde avec mes yeux
L'amitié s'est brisée
Il n'y en a pas d'autre pour moi
Comme celle de mon enfance
Pourras tu me pardonner ?
L'amour se porte mieux sans moi,
Depuis ce jour..
lundi 30 novembre 2009
dimanche 29 novembre 2009
vendredi 27 novembre 2009
Adolescence.
Colères, rancoeurs, joies confuses. Quels mots mettre sur ce brouhaha? Que dire? Que faire? Que penser? Je suis jeune et je n'y voit rien; rien n'est clair dans ma tête. Tout s'enmêle, s'entrechoque, se contredi dans un vacarme incessant. Mon corps change, peu importe. Dans ma tête tout est confus. Je suis heureuse et malheureuse. J'ai confiance en moi tout autant que je complexe. Je suis généreuse et égoïste, timide et extravertie, calme et colérique, sincère et hypocrite. Est ce cela la fameuse adolescence? Ce passage difficile dont tout le monde -sauf les concernés- parlent ? Ce Tohu-bohu, ce désordre de personnalité incessant?
La jeunesse est fascinante parcequ'elle a des rêves plein la tête. Comme les enfants. Et parcequ'elle agit pour qu'il deviennent réalité. Comme les adultes. La jeunesse pense pouvoir réaliser ses rêves. Elle n'est jamais contente. Elle veut changer le monde qui l'attend alors qu'elle n'en a pas fini de le découvrir. Elle est insolente, prétentieuse, énergique, violente parfois. Mais cela, c'est parcequ'elle a peur. Du monde qui l'attend, le monde des adultes. Car bien que rêveurs, nous savons pertinament que cet univers va nous absorber, nous imprégner jusqu'à la moindre parcelle de notre cerveau comme il l'a fait avec tant d'autres avant nous. Alors désésperement, on tente de le changer, on traque ses moindres petits défauts, on veut faire le monde à notre manière. Tout de même, cela fait un moment que le monde est tel qu'il est, il faut bien l'admettre.
Mais que serait ce monde sans cette jeunesse qui le renie incessament ?
photo: Sigit Pamungkas.
La jeunesse est fascinante parcequ'elle a des rêves plein la tête. Comme les enfants. Et parcequ'elle agit pour qu'il deviennent réalité. Comme les adultes. La jeunesse pense pouvoir réaliser ses rêves. Elle n'est jamais contente. Elle veut changer le monde qui l'attend alors qu'elle n'en a pas fini de le découvrir. Elle est insolente, prétentieuse, énergique, violente parfois. Mais cela, c'est parcequ'elle a peur. Du monde qui l'attend, le monde des adultes. Car bien que rêveurs, nous savons pertinament que cet univers va nous absorber, nous imprégner jusqu'à la moindre parcelle de notre cerveau comme il l'a fait avec tant d'autres avant nous. Alors désésperement, on tente de le changer, on traque ses moindres petits défauts, on veut faire le monde à notre manière. Tout de même, cela fait un moment que le monde est tel qu'il est, il faut bien l'admettre.
Mais que serait ce monde sans cette jeunesse qui le renie incessament ?
photo: Sigit Pamungkas.
jeudi 26 novembre 2009
Louvre
Je vais vous parler d'un musée que tout le monde a visité au moins un fois dans sa vie : Le musée du Louvre à Paris. J'ai visité ce musée la semaine dernière (pour la cinquième fois) et je trouve ce musée TROP grand : on n'a pas le temps de tout voir en une visite :( Il faudrait rester au moins une semaine pour en faire le tour et prendre le temps de regarder toutes les oeuvres. Il faudrait revenir plusieurs fois mais quand on habite pas Paris ça devient difficile. Je trouve aussi qu'il y a TROP de tableaux et du coup comme on veut voir le plus de tableaux on se dépêche et on ne prend pas le temps de bien observer les oeuvres. De plus, quand on va au Louvre c'est pour voir la Joconde et des tableaux très connu alors qu'il y en a des moins connus qui sont tout aussi interressant ! Il y a aussi le problème des visiteurs parfois il ya vraiment TROP de visiteurs et ça devient impossible de voir certains tableaux car tous sont amassés devant :( Néanmoins le Louvre est un musée interressant et très beau. Et vous ? Quelles sont vos impressions sur ce musée ? ....
mercredi 25 novembre 2009
un ami ??
A quoi tient une amitié ?
Est ce que la phrase loin des yeux , loin du coeur s'applique ?
Est ce que nos meilleurs amis sont forcement ceux que l'on voit tous les jours?
Je me trouve aujourd'hui confrontée à un problème:
Est ce que ça vaut la peine
Car oui avoir des amis n'est pas toujours facile
Bien sur ils sont là dans les bons moments ceux qui nous rendent heureux
Mais dans les mauvais, vers qui se tourner ?
Cette fille que je connais à peine
Ou celle qui a toujours été dans les environs avec qui au final je n'ai plus rien en commun
Ou celui qui est la cause de mon malheur
Alors je ne dis rien, laisse faire le temps qui guérit tout
Jusqu'au moment où tout s'écroule et là .....
Les gens s'étonnent de me voir souffrir
Oui je cache parfois bien les choses
Malgrés tout la douleur est là.
Est ce que la phrase loin des yeux , loin du coeur s'applique ?
Est ce que nos meilleurs amis sont forcement ceux que l'on voit tous les jours?
Je me trouve aujourd'hui confrontée à un problème:
Est ce que ça vaut la peine
Car oui avoir des amis n'est pas toujours facile
Bien sur ils sont là dans les bons moments ceux qui nous rendent heureux
Mais dans les mauvais, vers qui se tourner ?
Cette fille que je connais à peine
Ou celle qui a toujours été dans les environs avec qui au final je n'ai plus rien en commun
Ou celui qui est la cause de mon malheur
Alors je ne dis rien, laisse faire le temps qui guérit tout
Jusqu'au moment où tout s'écroule et là .....
Les gens s'étonnent de me voir souffrir
Oui je cache parfois bien les choses
Malgrés tout la douleur est là.
mardi 24 novembre 2009
Je travaille moi aussi sur un texte, alors, cette semaine je posterais simplement ce titre de Nine inch Nails... Je ne pense pas que nous l'entendrons de la même façon, il ne vous marquera peut être pas du tout, mais pour ma part il est de ces morceaux qui s'encrent, qui se respirent, qui résonnent, qui restent.
« I hurt myself today
To see if I still feel
I focus on the pain
The only thing that's real »
To see if I still feel
I focus on the pain
The only thing that's real »
○
lundi 23 novembre 2009
Lion Cubique
dimanche 22 novembre 2009
Ecrire
"Ecrire, c'est une façon de parler sans être interrompu."
Jules Renard
samedi 21 novembre 2009
Paul ELUARD
○
Dans mon chagrin, rien n'est en mouvement
J'attends, personne ne viendra
Ni de jour, ni de nuit
Ni jamais plus de ce qui fut moi-même
Mes yeux se sont séparés de tes yeux
Ils perdent leur confiance, ils perdent leur lumière
Ma bouche s'est séparée de ta bouche
Ma bouche s'est séparée du plaisir
Et du sens de l'amour, et du sens de la vie
Mes mains se sont séparées de tes mains
Mes mains laissent tout échapper
Mes pieds se sont séparés de tes pieds
Ils n'avanceront plus, il n'y a plus de route
Ils ne connaîtront plus mon poids, ni le repos
Il m'est donné de voir ma vie finir
Avec la tienne
Ma vie en ton pouvoir
Que j'ai crue infinie
Et l'avenir mon seul espoir c'est mon tombeau
Pareil au tien, cerné d'un monde indifférent
vendredi 20 novembre 2009
Piètre avenue
Muse, Muse, Muse, folie impétueuse
Lorsque d’encre tu nais. Déiste et Déesse à
Toi seulement, alors tu en deviens charmeuse
Fascinante même. Mais moi tu ne m’auras.
"La Danseuse" de Botéro
jeudi 19 novembre 2009
Les jardins ...
Voilà je savais pas trop quoi mettre, alors j'ai choisi les jardins du château de chantilly. Je sais qu'ils ont été réalisé par André Le Nôtre vers la fin du XVIIème siècle. J'ai été plusieurs fois au château de Chantilly mais je n'ai jamais eût l'occasion de voir tout ce qu'il y a à voir dans les jardins. Je trouve ces jardins magnifiques et j'ai beau les voir et les revoir je suis toujours impressionné par la beauté ce lieu. La photo où vous voyez des feu d'artifices, c'est une photo que j'ai trouvé sur internet et que j'ai trouvé belle. Elle à été prise pendant les nuits de feu, ces soirée qui ont lieu tout les deux ans et où sont tirés de magnifiques feu d'artifices. J'avais entendu dire qu'on voulait arrêter les niuts de feu à Chantilly car cela faisait bouger les fondations du château :(
Voilà j'ai fini, j'espère que ça vu a plu. ça ne vous a pas fait voyager beaucoup puisque à Chantilly vous y êtes presque tout le temps, mais bon ça vous a peut être permis de découvrir de nouvelles choses (peut être...) :)
Voilà j'ai fini, j'espère que ça vu a plu. ça ne vous a pas fait voyager beaucoup puisque à Chantilly vous y êtes presque tout le temps, mais bon ça vous a peut être permis de découvrir de nouvelles choses (peut être...) :)
mercredi 18 novembre 2009
Misplaced
Sometimes I feel so out of time and place, trapped in a maze
As if I was lost in someone else's life...
The values I should keep in high regard don't mean a thing to me
Do you ever feel a need to go back in time? A dream of mine...
To travel far away and one day steal back my life
In the end all I can do is to learn I live in a dreamland
This time was not made for me,
I have nowhere to land, no place to rest,
Like a bird, without a nest, I'm gliding
Under the clouds, forevermore
How much suffocated anxiety can be held within?
I was found guilty to a crime against myself.
No need to hear the words again,
I live and I'd die for my dreamland
This time was not made for me
I have nowhere to land, no place to rest,
Like a bird, without a nest, I'm gliding
Under the clouds, forevermore
I'll never have a chance, I can't understand
I'm a misplaced man
How could this backward land
Learn to understand my dance
what it's like, when every single smile hurts...
I have never felt like home here
Always missing something
People aren't connecting
Am I a misplaced soul?
I live in a perfect Hell, I try finding my wishing well
when I drop my last tear, I have accepted this life
A true saint, that I am not, you have never seen me
'Cause I have always been there, standing by your side
I'll never have a chance, I can't understand
I'm a misplaced man
How could this backward land
Learn to understand my dance
what it's like, when...
Every single moment pains me...
Never felt like home here
I am missing something
My soul's in a wrong shell?
Sonata Arctica - Toni kakko
As if I was lost in someone else's life...
The values I should keep in high regard don't mean a thing to me
Do you ever feel a need to go back in time? A dream of mine...
To travel far away and one day steal back my life
In the end all I can do is to learn I live in a dreamland
This time was not made for me,
I have nowhere to land, no place to rest,
Like a bird, without a nest, I'm gliding
Under the clouds, forevermore
How much suffocated anxiety can be held within?
I was found guilty to a crime against myself.
No need to hear the words again,
I live and I'd die for my dreamland
This time was not made for me
I have nowhere to land, no place to rest,
Like a bird, without a nest, I'm gliding
Under the clouds, forevermore
I'll never have a chance, I can't understand
I'm a misplaced man
How could this backward land
Learn to understand my dance
what it's like, when every single smile hurts...
I have never felt like home here
Always missing something
People aren't connecting
Am I a misplaced soul?
I live in a perfect Hell, I try finding my wishing well
when I drop my last tear, I have accepted this life
A true saint, that I am not, you have never seen me
'Cause I have always been there, standing by your side
I'll never have a chance, I can't understand
I'm a misplaced man
How could this backward land
Learn to understand my dance
what it's like, when...
Every single moment pains me...
Never felt like home here
I am missing something
My soul's in a wrong shell?
Sonata Arctica - Toni kakko
mardi 17 novembre 2009
Silence.
Exprimez vos critiques !
Tes yeux timbres au vents fredonnent superbe la quête des Ange ébahis par ta vénusté. Le souffle de ta prunelle m’enchante jusqu’à l’apogée mélodieuse de ton intime plume azure d’iris. Tes exceptionnelles pupilles s’embrasent peu à peu puis embrassent bleu à bleu la douceur de ton âme inconnue, ineffable. Tu es ineffable. Mais ta beauté est délicieuse. Ton charme est harmonieux. Et ce plaisir est admirable. Admiré que je me crois lorsque tu sembles dévoiler sous une clarté charnelle un mystère aussi délicat que profond ; ce regard. Tendre supplice, qui me chante à l’oreille, me murmure en son sein sa sensualité. Cette majesté m’exalte une joie intime d’aimer. Oui, car ta splendeur me délasse d’un délice magnifique et interminable. Tu n’égales pas Vénus ; non tu la transcende, dans l’apothéose de ta douce beauté.
lundi 16 novembre 2009
samedi 14 novembre 2009
Que l'Homme est beau !
"14 months in the making, 42 countries, and a cast of thousands. Thanks to everyone who danced with me." Matt Harding
vendredi 13 novembre 2009
Pour n'absolument rien dire.
RIEN: Qu'y a-t-il de plus jouissif que de s'arrêter de penser ?Cesser enfin ce flot débordant d'idées plus ou moins utiles ou plus ou moins importantes. S'arrêter de penser ! Comme si on était mort tout en pouvant redevenir vivant. Etre le vide. Retourner aux origines suprêmes. N'être même plus quelqu'un qui ne pense à rien. Etre rien. Voilà une noble ambition.
VIEILLARD :En Afrique, on pleure la mort d'un vieillard plus que la mort d'un nouveau né. Le vieillard constituait une masse d'expérience qui pouvait profiter au reste de la tribu alors que le nouveau-né, n'ayant pas vécu, n'arrive même pas à avoir conscience de sa mort.En Europe, on pleure le nouveau-né car on se dit qu'il aurait sûrement pu faire des choses fabuleuses s'il avait vécu. On porte peu d'attention à la mort du vieillard. De toute façon, il avait déjà profité de la vie.
Edmon WELLS,Encyclopédie du savoir relatif et absolu
[extrait de " Les fourmis " Bernard Werber, tome II]
Mamie Pissenlit est complètement insatisfaite de sa publication...et promet mieux la semaine prochaine!
jeudi 12 novembre 2009
Cassie by Flyleaf
Ce titre est à propos de Cassie Bernall, victime de la tuerie du lycée Columbine. Le tueur a pointé son arme sur le visage de Cassie et lui a demandé si elle croyait en Dieu. Elle a répondu oui, il a tiré et l'a tué. La même chose est arrivée à Rachel Joy Scott. Quand le tueur a pointé son arme à son visage et lui a demandé si elle croyait en Dieu, elle a répondu oui et il a tiré, mais elle n'est pas morte. Alors il lui posa la question une seconde fois, elle répondit oui, il a encore tiré et l'a tué.
(semaine un peu chaotique, mes excuses pour le retard !)
Le groupe flyleaf a sorti un dvd acoustique de leur chansons, si la version originale ne vous plaît pas, il y a la version acoustique qui est assez différente, et plus douce. :) Enjoy !
Berlin
Aujourd'hui je vais vous parler d'une ville qui était à l'honneur Lundi, qui n'est autre que la ville de Berlin. Vous avez entendu parler cette semaine pour les 20 ans de la chute du mur, je vais vous parler de la ville en générale et des lieux où je suis allée. J'ai été deux fois à Berlin : une fois avec le collège en quatrième et une autre fois l'année dernière avec le lycée. Bien que j'y sois allée deux fois je n'ai pas vu deux fois les mêmes choses. En effet il y a tellement de choses à visiter qu'on arrive pas tout voir en une semaine et encore même maintenant il y a des choses que n'ai pas eût le temps de visiter, comme la tour de la télévision ( photo en bas au centre). Il faut savoir que la ville de Berlin est en perpetuel changement. Par exemple quand j'y suis allée en quatrième, nous sommes passée devant un bâtiment devant lequel il y avait des parterres d'herbes en forme de lettres (photo en bas à droite) quand j'y suis retourner l'année dernière ils avait été enlevés (photo en haut à droite). Berlin est redevenue la capitale de l'Allemagne depuis le 3 octobre 1990, jour de la réunification. C'est la plus grande ville d'Allemagne et compte environ 3,5 millions d'habitants. Berlin est surtout connu pour son mur dont il reste des morceaux encore aujourd'hui dans toute la ville. Elle est aussi connu pour la porte de Brandenburg (photo en haut au centre) et le Reichstag . Pendant mes deux séjours dans la ville j'ai été visité la coupole du Reichstag (photo tout en bas à droite)d'où on a une vue spectaculaire de la ville, le musée du mur qui retrace l'histoire du mur et montre les différents moyens qu'on trouvé certaines personne pour passer de l'autre côté. J'ai aussi visiter le pergammon Museum au l'on trouve des pièce de l'antiquité et surtout la porte dIshtar une immense porte à l'intérieur même du musée (photo en bas au centre). On à aussi été visité le musée de l'Holocaute, le mémorial juifs( photo en haut au centre), musée sitée sous terre en dessus des steles construitent en mémoires au Juifs morts pendant la Shoah. Pas très loin de Berlin il y aussi une très belle ville Potsdam, où se situe d'ailleurs le château de Cecillienhof, très interressante à visité. Voilà j'ai fini j'espère que vous avez appréciez ce petit voyage à Berlin et peut être qu'il vous a donné une idée d'une destination pour vos prochaines vacances... :)
mardi 10 novembre 2009
dimanche 8 novembre 2009
Homme-âge
L'Homme n'est pas sage. Et de passage en passage l'Homme nage dans des mirages et se noie dans son sillage. Ainsi l'Homme ravage visage sans âge et villages sauvages puis propage son image par ses langages dans sa lignage. Sans décallage ni déballage l'Homme saccage cages et barrages avec le courage, mais l'âge, d'un noble mage bardé d'bandages.
Suite à ce beau carnage l'Homme se ménage, puis l'Homme déménage jusqu'à ce que l'Homme s'engage à rester sage. Ne faisant ni tapage ni cirage, n'emportant ni bagages ni présages, sans rivage, virage et autres mirage avec affinage il nage en paysages ; pays sage qu'il dévisage par envies sages, envisage-t-il davantage de pages à l'ouvrage de son héritage ? L'Homme y voyage de plages en pâturages, mais de feuillages en grillages.
Car malgré de beaux nuages qui l'encourage à ne pas plier bagages l'Homme use à l'âge de cette usage qu'est le voyage. Ainsi sauvage mais sage sans message l'Homme s'enrage, effréné dans son partage. Et sous cette ombre rage, le ciel s'ombrage. Puis son entourage en toute rage propage cet orage. L'Homme ravage.
Enfin par un ultime coup de rage, de courage l'Homme s'encourage, l'Homme a courage, mais l'Homme décourage. Désormais otage du dé Gages l'Homme y dégage son sarcophage.
Au final quelque soit ses ravages et ses visages,
L'Homme se propage au fil des âges.
L'Homme se propage au fil des pages.
vendredi 6 novembre 2009
Vous ne devinerez jamais où j'étais hier soir.
Il y a de ces instants durant lesquels on voudrait rester jeunes et idiots toute notre vie. Nous sommes assis là, dans cette salle immense, conversant joyeusement; quand soudain, une à une, les lumières s'éteignent. On lève la tête, on hausse les sourcils et brusquement on comprends. Frénétiquement, on pose tout sur les sièges.
Impatience.
On dévale les escaliers dans le noir le plus complet, nous approchant le plus possible de la scène. Nous voilà au milieu d'un tas d'inconnus, tous là pour la même raison. Surexcités, nous le sommes tous. Incapable d'attendre plus longtemps, le public trépigne. Crie, appelle le groupe, s'agite. Le rideau s'ouvre doucement. On entrevoit le chanteur. Lumières célestes. Fumées de l'Autre monde. Sur scène, on les dirait entourés d'un halo divin. Cette fois, c'est l'Apocalypse. On frappe dans ses mains, on hurle, on trépigne, on saute sur place, on ne sait plus quoi faire pour que cela commence. Un son de guitare résonne brusquement dans la salle. Le reste des instruments s'anime. Une voix résonne. Et c'est parti.
Une heure, deux heures de chaos absolu. Un doux, un joyeux, un ô combien délicieux chaos! Chacun est perdu, il s'agit d'un tête à tête. Un tête à tête avec les quatre sur scène. Nous sommes des centaines dans ce tête à tête. Nous avons tout oublié. D'où nous venons, qui sommes nous. La musique nous a envahit, a pris possesion de nos corps. Ils sont pourtants innombrables ces inconnus avec qui on partage le temps d'un concert, l'espace, l'émotion, la sueur. Le pouvoir de la musique est surprenant tant elle peut unir, rapprocher, réconcilier.
M-P.
jeudi 5 novembre 2009
Cecilienhof
J'ai visiter ce château l’année dernière, en avril, avec ma classe d’allemand. Je me souviens que nous avions fait un long trajet à travers le parc pour enfin arriver au château. Ce qui ma étonnée quand j’ai vu Cecilienhof, c’est que ce bâtiment n’a pas du tout l’allure d’un château comme moi je l’imagine. Cecilienhof me fait plutôt penser à une résidence secondaire ou à une maison de campagne, enfin c’est mon point de vue.
Le Château de Cecilienhof est un palais situé à Potsdam, près de Berlin dans l’Est de l’Allemagne. Cecilienhof se trouve dans la partie du nord du Neuer Garten un immense parc, près du lac Jungfernsee. Le château de Cecilienhof a été construit par l'architecte Schultze Naumburg durant la première guerre mondiale (entre 1914 et 1917) pour accueillir le prince héritier et son épouse, Cécile de Mecklenburg – Schwerin qui donna son nom au château.
Cecilienhof est surtout connu pour avoir été le siège de la conférance de Potsdam, du 17 juillet au 2 août 1945, réunissant les puissances victorieuses du nazisme. Étaient présent Staline, Churchill et Truman.
Bien que transformé en hôtel de luxe, le château demeure toujours ouvert au public en ce qui concerne les pièces historiques : Il est possible de visiter le cabinet privé de la princesse héritière, la salle de travail de la délégation russe, le salon blanc néo-classique, la salle de conférence, ainsi que les salles des délégations américaines et anglaises.
mercredi 4 novembre 2009
Les jours de pluie
Aujourd'hui est une de ces journées où l'on sais qu'on aurai dut rester couché
On s'en rend même compte avant de se lever
Quand on ouvre les yeux , qu'on voit la pluie qu'on est en retard
Qu'on loupe le bus qu'il faut courir
Ces journées où tous va de travers ont cependant un avantage
Car si ces jours n'existaient pas on ne ferait pas la différence entre les bons et les mauvais jours
Entre les jours de beau temps et de pluie
Moi dans un sens j'aime ces journées parce que dés qu'elles sont finis on sais que le lendemain sera meilleur
Que demain il fera beau
mardi 3 novembre 2009
Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends.
lundi 2 novembre 2009
Le café .....
vendredi 30 octobre 2009
Douce routine.
Une sonnerie stridente, désagréable, comme un rappel à l'ordre. J'étends péniblement ma main vers la table de nuit, tâtonne dans le noir et enfin, appuie sur l'infernale machine pour interrompre cette sirène mortelle. Par on ne sait quelle magie, l’ampoule du plafond prends vie. Mais j’enfouis ma tête dans mon oreiller, pas encore prête à affronter la journée qui s’annonce. La tête encore pleine d'images floues, issues de rêves incertains, je me résigne, me redresse, et me dirige vers la salle de bains, en trottinant à cause du contact de mes pieds sur le carrelage gelé. Une heure plus tard, je suis fin prête, les pensés enfin tournés vers la journée qui m'attend. Monter dans le bus, dire bonjour, prendre une place, au pif.
Le bus...c'est sans doute la partie la plus intéressante de ma journée. Mes pensées m'échappent, vagabondent, défilent avec la même vitesse que le paysages sous mes yeux absents. C'est une demi-heure sans rien dire, juste rêvasser, penser au passé, au futur, à tout et à rien. Chaque matin, on croise les même petites choses étranges : le vieux monsieur qui fait son jogging entre Lamorlaye et Chantilly. Il ne court pas, il trottine doucement avec détermination. Et puis il y a le petit, d’à peine quatre ans je dirais, dont le cartable trop grand pour lui tape contre ses jambes à chaque pas.
Le lycée, enfin. Ses tourniquets bleus électrique, la fumée des cigarettes devant le portail. Une nuée de talons, converses, eastpack, longchamps, keffieh et écouteurs suspendus autour du cou, collés à l'oreille. Il est temps de me recentrer sur mes obligations. Je passe la journée concentrée. Les cours, les potes, les nouveaux potes, les profs, la bouffe particulière du réfectoire, les pages de mon agenda qui se noircissent, les rayons du soleil à travers les fenêtres des salles. Et l’attente perpétuelle du weekend end.
(Mamie Pissenlit elle-même ne sait pas où elle voulait en venir.)
Le bus...c'est sans doute la partie la plus intéressante de ma journée. Mes pensées m'échappent, vagabondent, défilent avec la même vitesse que le paysages sous mes yeux absents. C'est une demi-heure sans rien dire, juste rêvasser, penser au passé, au futur, à tout et à rien. Chaque matin, on croise les même petites choses étranges : le vieux monsieur qui fait son jogging entre Lamorlaye et Chantilly. Il ne court pas, il trottine doucement avec détermination. Et puis il y a le petit, d’à peine quatre ans je dirais, dont le cartable trop grand pour lui tape contre ses jambes à chaque pas.
Le lycée, enfin. Ses tourniquets bleus électrique, la fumée des cigarettes devant le portail. Une nuée de talons, converses, eastpack, longchamps, keffieh et écouteurs suspendus autour du cou, collés à l'oreille. Il est temps de me recentrer sur mes obligations. Je passe la journée concentrée. Les cours, les potes, les nouveaux potes, les profs, la bouffe particulière du réfectoire, les pages de mon agenda qui se noircissent, les rayons du soleil à travers les fenêtres des salles. Et l’attente perpétuelle du weekend end.
(Mamie Pissenlit elle-même ne sait pas où elle voulait en venir.)
jeudi 29 octobre 2009
Le lion de Belfort
Le Lion de Belfort est une sculpture de Frédéric Auguste Bartholdi, située à Belfort, dans l’Est de la France. Longue de 22 m et haute de 11 m, elle est constituée de blocs de grès rouge des Vosges. Le Lion de Belfort incarne la force et la résistance dont ont fait preuve la ville et son gouverneur Denfert-Rochereau lors du siège qui dura 103 jours. Construit par Bartholdi après le siège de 1870-1871 contre les Prussiens, le Lion de Belfort est le témoignage de reconnaissance envers ceux qui ont combattu pour que Belfort demeure français. C’est l’emblème de la ville de Belfort. Concernant l’emplacement de la sculpture, Bartholdi écrit le 12 août 1872 : « Il est à désirer que cette œuvre soit bien personnelle à la ville et non pas un de ces monuments qui puisse se placer n’importe où, accompagné d’allégories complexes, péniblement cherchées, applicables un peu partout. Cela détermine mon choix en faveur de la roche si grandiose qui domine Belfort et qui lui donne son caractère tout à fait exceptionnel. Placé là, le monument s’identifiera à l’aspect de la forteresse. Il sera une sorte de Palladium, visible de partout, de la ville, des alentours, même du passant voyageur. Ce site est unique, il faut en tirer parti. » Quant à ce que symbolise le lion il écrit : « J’ai pensé que le sentiment exprimé dans l’œuvre devait surtout glorifier l’énergie de la défense. Ce n’est ni une victoire, ni une défaite qu’elle doit rappeler ; c’est une lutte glorieuse dont il faut transmettre la tradition pour la perpétuer et dont le souvenir doit couronner la ville de Belfort. ». Il faudra néanmoins quatre ans de palabres et de discussions pour qu’enfin soit posés les échafaudages pour la construction du lion, en mai 1876. La construction prendra quatre ans, de mai 1876 à janvier 1880. L'année prochaine le lion de Belfort fêtera ses 130 ans.
mercredi 28 octobre 2009
Beyond the Dark Sun
For years I have traveled in coldness,
But my heart is warm as the darkened sun above me...
Nothing can never take away
What I've seen with these tired eyes
Face of the weeping night
And the shade of the fading light
The dawn will never rise again for my eyes
And I will never sleep again
I've lost my hope time after time
Cause the light has erased from the sky
Now when the darkness has become part of me
I got to let my shadows free
Cause I never looked behind, I never tried to find
Something that could have made me one
Now when the sorrow has taken control of me
I got to let my shadows free
Cause I never looked behind, I never tried to find
Something that could have made me one
Something that I could reach the Sun
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